Sa devancière Murcielago avait vu sa carrière prendre fin avec la production de 4 099 unités. L’héritière Aventador LP700-4 découverte en 2011 dans les allées du salon de Genève vient déjà d’atteindre le cap des 1000 exemplaires produits au sein du complexe industriel italien…Toujours pour faire le parallèle avec la Murcielago, cette dernière avait été exposée dans les allées du salon de Francfort 2001 reprenant alors le flambeau d’une certaine Diablo et écrivant au fil de ses versions une nouvelle page dans l’histoire de la marque italienne. C’est en 2004 que la supercar atteignait alors le cap des 1000 unités produites soit deux ans et cinq mois après le démarrage concret de la production.
Sa remplaçante Aventador LP700-4 aura finalement mis une année pleine et trois petits mois avant d’en arriver à ce volume de production. Pour la petite histoire, cette unité numéro 1 000 sera est destinée à un client allemand, un architecte bavarois qui a reçu les clefs de sa belle directement de Stephan Winkelmann, le CEO de la marque.
Actuellement la production de l’Aventador va au rythme de 4,5 exemplaires par jour. Et du travail, les salariés de Sant’Agata Bolognese en ont pour quelques semaines puisque le carnet de commande est plein : la production des dix-huit prochains mois est déjà bouclée. Les clients passant commande actuellement devront prendre leur mal en patience avant de toucher leur taureau animé par le V12 de 700 ch et 690 Nm… L’histoire de l’Aventador est en marche. Tempétueuse. Glorieuse. Fructueuse.
Source et images : Lamborghini.





La crise, mais quelle crise, apparemment, certains en profitent bien… 😉
Effectivement la rapidité avec lequel est atteint me laisse pantois !
Mais d’un certain point de vue tant mieux comme ça Lamborghini continuera de nous ravir quelques années de plus avec de belles séries limites, spéciales et des nouveaux modèles …
Oui bien sûr, qu’ils continuent à nous faire rêver mais je ne m’inquiète pas pour eux ; l’essentiel part vers la chine et sa clientèle de riches entrepreneurs qui eux ne connaissent pas la crise puisque nous devenons incapables de fabriquer quoi que ce soit à des conditions économiques compétitives, à part bien sûr des produits de luxe …
MARIO
Moi j’appelle ça, le savoir-faire…