Certes la Maybach 62 S (avec un S comme Spezial précisément) se rapproche davantage d’une Mercedes Classe S, l’âge en plus et forcément les avancées technologiques en moins, avec pourtant un charme tellement particulier qu’on ne peut que s’enthousiasmer devant une telle automobile. Oui, comment resté de marbre devant une quasi limousine de 6.2 mètres de long, propulsée par un délicat V12 de 612 chevaux, dotée de roues à bâtons de 20 pouces ou encore méticuleusement enrichie des sigles incontournables 62 S chromés sur la carrosserie ? Non, on ne peut vraiment pas. Sauf si l’on porte des œillères ou que décidément, non, on n’aime pas ce genre de véhicules.

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