Bon, on ne vous présentera ni l’homme, ni son parcours, ni son CV, ni ses origines. Qui ne connait pas Ferdinand Piech ? Et bien l’homme, on le savait déjà, est aussi un riche collectionneur devant l’éternel…

Ferdinand Piëch est un illustre homme riche. Un Allemand qu’on ne nous présentera pas.

Ferdinand Piëch est aussi amateur de belles mécaniques, on ne se renie pas… Si l’homme possède par exemple deux Veyron (dont une Grand Sport), il possède également une Porsche 918 Spyder.

Et la Porsche 918 Spyder propriété de Ferdinand est à découvrir en grand ci-dessous. On notera une des spécificités de ce modèle : il n’est plus question de Spyder puisque le couvre-chef est fixé. On notera également la plaque d’immatriculation de l’homme où trois capitales trônent au centre : FKP. Comme Ferdinand Karl Piëch. Tout est dit.

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Source et image : GT Spirit.

2 Réponses

    • Speed

      C’est pas les mêmes couleurs, la Veyron Supersport est noire et orange, cette 918 (plus Spyder pour le coup) est noire et rouge.
      Outre, la teinte plus ou moins originale et/ou judicieusement posée selon les goutes de tout à chacun et la plaque d’immatriculation autrichienne « nominative », le vrai événement sur l’auto est la fixation en dur du toit Spyder.
      Connaissant l’obsession du détail de Piech en ingénierie, je doute que ce soit « simplement » le toit amovible « d’origine » qui été boulonné, comme le mentionne l’article. Je pense que l’homme à bien pu demander aux ingénieurs Porsche, ces ex salariés, une version « spéciale » avec toit en dur parce qu’il l’a estimé plus performant.
      Ceux qui connaissent l’histoire du développement tumultueux de la 917, dont il était chef de projet, connaissent le caractère impétueux du Monsieur.
      Par ailleurs, ça fortune personnel doit lui permettre d’assouvir ce genre de « fantasme », même pour un exemplaire à l’unité (« unikat » comme disent les allemands) dont le cout de reviens sera stratosphérique.
      Il serai intéressant d’avoir plus de détail sur cet exemplaire, notamment le poids et les conséquences sur la rigidité, voir les performances de cette transformation. Le tout clôturé par un essai par un journaliste, mais ce dernier point risque de rester du domaine du rêve. Même pour ce qui est de la fabrication, ingénierie, cout et tout ce que cite précédemment, c’est pas gagné que quelqu’un à Zuffenhausen « lâche » les informations de manière officielle dans la presse. Puis la colère du désormais ex taulier doit toujours être redouté!!!

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