Au niveau financier tous les voyants sont au vert pour ce premier trimestre de l’exercice 2013. Ainsi le bénéfice d’exploitation grimpe de 22 % (176 millions d’euros), le bénéfice net se chiffre à 116,2 millions, soit une augmentation de 20 % quand le chiffre d’affaires augmente de 7,1 % pour atteindre 1 177 millions d’euros. En complément Ferrari salue sa meilleure position de trésorerie nette industrielle jamais enregistrée avec une somme de 1 220 millions d’euros.
Concrètement aussi, la marque italienne annonce que 3 767 véhicules homologués ont été vendus au réseau de concessionnaires soit une légère hausse de 2,8 %. Ferrari ne communique aucun chiffre précis pour les modèles de la gamme. Par zone géographique, outre-Atlantique comptez + 9% (1048 unités), + 6% (415 véhicules) en Grande-Bretagne qui devance désormais le marché allemand (+ 1 % à 388 unités) en Europe quand le marché domestique de Ferrari s’écroule à 116 exemplaires. Enfin, les ventes au Moyen-Orient et au Japon ont connu une croissance à deux chiffres au premier semestre, de respectivement +39 % (264 véhicules vendus) et +28 % (172 véhicules vendus).
Dernière info intéressante : un peu moins de 350 véhicules ont été vendus, soit 50 de moins que l’an passé, en Grande Chine (Chine, Hong-Kong, Taïwan). « Cette baisse s’explique principalement par notre décision de diminuer les ventes de véhicules sur le marché de Hong-Kong, qui a connu une forte croissance ces derniers temps, et aux craintes de voir les taxes sur les produits de luxe augmenter« , explique Ferrari. A rythme constant, 2013 devrait se finir à quelques 7 500 exemplaires.
Source et image : Ferrari.