Deuxième partie de notre visite guidée de Francfort, côté journalistes.

Mardi 13 septembre, 8h. l’entrée au Messe Francfort se fait par le hall 11, occupé par le groupe BMW. Un espace organisé de la même manière que lors de la dernière édition, incluant donc une piste en hauteur sur laquelle roulent quelques unes des dernières créations de la marque.

On traverse les halls petit à petit, discutant au gré des rencontres avec les attachés de presse, découvrant les surprises non annoncées des marques (de plus en plus rares il faut bien l’admettre) et alourdissant les sacs des dossiers de presse distribués par les constructeurs.

Le 'butin' après 2 jours...

Le jeu de l’après-midi est de trouver un wifi fonctionnel afin de vous apporter les premières images ‘live’ du salon. Une mission au moins difficile, voir impossible dans certains hall. On trouve une connexion chez Hyundai, mais il doit faire 40 degrés à l’étage et le wifi fini par ne plus marcher. Alors on reprend la route en tentant d’oublier que nos jambes sont déjà lourdes. On détourne le regard devant le stand Lancia pour ne pas trop s’imprégner de la désastreuse Chrysler Sebring vaguement maquillée puis je tente en vain de décrocher Stéphane de la 458 Spider. Il veut déjà décrocher son téléphone pour négocier une augmentation…

On termine la journée chez Aston Martin et Jaguar ou l’on présente le dernier numéro d’Octane, discute de l’opération ‘Big Five’ à Monza (EVO 62) et de la pertinence de la Cygnet. Il est 19h30, on a déjà plusieurs kilomètres dans les jambes et plusieurs kilos sur le dos, la première journée se termine.

Les journalistes automobiles étant avant tout de grands enfants, impossible de s’arrêter en Allemagne sans faire une étape chez Burger King. Le menu du soir sera donc une ‘spécialité américaine’. Oui, vous pouvez être jaloux.

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