Pour cette rentrée, Mitsubishi a souhaité apporter quelques améliorations à sa machine la plus polyvalente. Des retouches légères, qui ne bousculent pas les fondamentaux de la berline à l’esprit de compétition.
Ces minces évolutions ne concerneront pour le moment que le Japon, comme à l’habitude. Esthétiquement, si on ne vous le disait pas, vous n’auriez sans doute rien vu. Rien d’étonnant à cela tant ces changements sont discrets. Les jupes latérales tout d’abord, sont plus volumineuses. En cause, l’harmonie des lignes de profil mais également l’aérodynamique. Le bouclier avant a lui aussi été redessiné (subtil). Utilisant de nouveaux plastiques, le nez de la voiture aura ainsi perdu 1,5 kg. Ça n’est pas énorme mais ils étaient bien mal placés.
À l’intérieur, l’Evo X a droit à un ordinateur de bord associé à un tout nouvel écran LCD couleurs, placé entre le compteur de vitesse et le compte-tours. On a également quelques inserts chromés ainsi qu’une insonorisation plus poussée. Celle qui peut désormais attirer une nouvelle clientèle continue donc sa recherche dans des domaines comme le confort ou le raffinement.
À noter enfin ; sur la finition GSR japonaise, l’option boîte manuelle qui était jusqu’alors disponible ne l’est plus. Seule la transmission à double embrayage SST est maintenant proposée. On peut supposer que ces quelques évolutions arriveront un jour par chez nous, au contraire de la très britannique et puissante FQ-400 à l’essai dans le nouveau numéro d’evo (n°43).
 
 

 

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