Pour Mercedes, la sécurité a toujours été un argument mis en avant. Et pour cause, ses résultats en termes de sécurité active comme passive se retrouvent en général en haut du tableau. La nouvelle supersportive du constructeur n’échappera pas à la règle, ni à celle du crash-test.
Lors de sa conception, le souci a été porté sur la réduction des masses. Un moins pour un plus. En particulier en matière de comportement routier. Mais en cas de choc – à vitesse équivalente –, cela pourra aussi permettre de diminuer le potentiel d’énergie susceptible de broyer la caisse et ses occupants. Une structure – châssis/carrosserie – réalisée en aluminium, un matériau qui conserve la rigidité d’une structure conventionnelle en acier. Une rigidité ‘bien placée’ qui protégera l’habitacle tout en laissant le long capot encaisser le choc au maximum.
Et ces portes papillon… très jolies. Mais en cas de retournement, comment fait-on pour sortir ? Eh bien, Mercedes a évidemment pensé à tout. Dans cette hypothèse, les portières se désolidarisent du reste de la voiture et il n’y a plus qu’à tirer (ou pousser) de quelques Nm. Démonstration :
 

 

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