1 Monza est véritablement un temple de vitesse et avec les nouveaux moteurs hybrides, tout ira plus vite. Ainsi, les pilotes passeront près des ¾ du temps sur l’accélérateur avec des pointes allant jusqu’à 350 km/h ! De ce côté, les Mercedes et autres Williams auront un avantage clair contrairement aux Ferrari.

2 Cette piste a la particularité d’enchaîner les lignes droites. Plus que d’habitude, la vitesse pure aura un rôle crucial pour taquiner les chronos ce week-end. D’ailleurs, de ce côté, les écuries diminueront l’aéro et l’appui des monoplaces pour satisfaire ce critère.

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3 Suivant ces dernières données, les pneumatiques souffriront pour compenser ces manques car un tour est composé tout de même de onze virages. De plus, le manque d’appui synonyme de baisse de grip fera souffrir les pneus lors des freinages, particulièrement violents en Italie. Sur les terres de Pirelli, cette composante sera particulièrement scrutée. La marque italienne proposera ce week-end ses pneumatiques durs et mediums.

4 Comme si le circuit ne suffisait pas pour aller vite, deux zones d’activation de l’aileron arrière mobile seront proposées. Une première zone de DRS prendra position le long de la ligne droite des stands tandis qu’une seconde se positionnera avant l’enchainement d’Ascari.

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5 La mythique Parabolica complètement dénaturée, voilà ce à quoi auront également droit l’ensemble des pilotes. Le bac à graviers protégeant les sorties de route de ce fameux virage a été remplacé par une couverture classique en asphalte pour satisfaire le Superbike. Du côté de la F1, cette caractéristique permettra sans doute aux pilotes de prendre plus de risques et ainsi rejoindre la piste facilement en cas de sortie de trajectoire.

6 Après le choc entre les deux Mercedes lors du début du Grand Prix de Belgique, nous nous attendions à ce que la relation entre les deux pilotes se dégrade fortement et plombe l’ambiance dans l’équipe. Pourtant, la crise semble avoir été correctement gérée à la vue des récentes excuses de Nico Rosberg et l’acceptation de ses erreurs. Elles ont semble-t-il remis l’équipe dans le droit chemin pour la course au titre…

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7 Difficile de ne pas imaginer les deux flèches d’argent sur le podium en voyant leurs performances depuis le début de la saison. A moins d’un problème technique ou même d’un nouvel accrochage qui serait pour le coup un véritable désastre pour l’équipe, Hamilton et Rosberg pourraient tenter un nouveau doublé dimanche.

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8 Kamui Kobayashi retrouvera sa place à bord de la CT05. André Lotterer n’aura pas savouré longtemps son expérience F1 depuis sa déconvenue arrivée très tôt en Belgique. Si Caterham lui proposait pourtant de participer au GP de Monza, l’Allemand a préféré refuser sachant qu’il n’aurait pu participer à tous les essais. Ce refus a ainsi obligé l’équipe à se retourner vers le Japonais à cause notamment d’un quota de pilotes voulu par la FIA.

9 Le Grand Prix d’Italie est tout un symbole pour Ferrari mais cette année, il va falloir cravacher pour tenter d’accéder au si convoité podium. Si des rumeurs parlaient de Fernando Alonso Chez McLaren, le pilote espagnol a rassuré son équipe sur sa détermination de continuer le travail entrepris avec la Scuderia malgré la faiblesse de sa monture. Ce dimanche, il faudra donc compter sur l’expérience d’Alonso pour atteindre le top 5.

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10 Les rumeurs vont bon train dans le paddock car après Alonso, c’est Sebastian Vettel qui est au cœur des discussions pour un départ vers McLaren. Serein, le pilote a préféré souligner le travail à faire du côté de Red Bull pour ne pas se déconcentrer avec ce GP important. En fin de contrat pour 2015 et vu ses performances cette saison, pourquoi ne pas imaginer son arrivée chez McLaren ?

Monza

Images © Mercedes/Hoch Zwei, McLaren/LAT, Daimler/Hoch Zwei, Sauber, Red Bull/Getty, Ferrari/Ercole Colombo
Circuit : formula1.com

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