Le grand manitou de Bottrop, appelé sorcier plus communément, nous offre ici une mise en bouche sur la Mercedes Classe C. Pour du plus lourd, de l’augmentation de cylindrée ou une greffe moteur, il faudra patienter.

Brabus s’échauffe. Pour du plus copieux et un menu taille patron, encore un peu de patience. C’est du reste souvent ainsi que Brabus décline son savoir-faire. D’abord un apéritif puis le plat de résistance.

A l’apéritif ? Du classique avec différents modèles de jantes aux diamètres allant jusqu’à 20″, quelques accessoires pour l’habitacle entre tapis de sols, pédalier, inserts, des appendices de carrosserie entre bas de caisse, lèvre, boucliers ou jupes latérales ainsi que des amortisseurs Bilstein.

Au niveau mécanique, juste les kits d’entrée de gamme sont proposés. Ainsi le 2.2 l diesel de la C220 BlueTec gagne 50 ch et 50 Nm (kit PowerXtra D3) pour porter sa cavalerie à 220 ch et 450 Nm. La vitesse de pointe grimpe à 240 km/h (+ 11 km/h) et le 0 à 100 km/h recule de cinq dixièmes en 7,1 s.

A noter aussi la C200 dont le moulin 2.0 l passe de 182 ch à 223 ch et 330 Nm contre 300 Nm. Ainsi gréée la routière pointe à 242 km/h (+ 7 km/h) pour un 0 à 100 km/h ne demandant plus que 7,0 secondes (gain de trois dixièmes). Sympathique mise en bouche. Vivement le plat de résistance.

20 54 56 57 75 0112 212 454 540 565 575 777 897 965 987

Source et images : Brabus.

4 Réponses

  1. Yann PLUSQUELLEC

    … J’ai un sentiment mitigé. D’abord, je n’aime pas trop la dernière classe C. Je la trouve molle, surtout la partie arrière. Brabus essaye bien de lui donner un peu de tenue mais le style de ses prises d’air de bouclier avant ne se marrie pas du tout avec le reste et s’intègre mal. Et puis le logo Brabus sur la calandre est franchement carrément moche et vulgaire. Par contre son travail sur la face arrière est plus réussi: l’extracteur qui sait rester discret, le traitement des 4 sorties d’échappement, le petit becquet, rien à redire. Et les jantes sont tout simplement splendides.

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