Vous avez bien lu, la petite Miata est capable de laisse sur place la berline de Tesla.

Vous l’aurez cependant deviné, elle n’est plus tout à fait d’origine.
Au menu de la préparation : passage à l’electrique, une lithium-ion de 333-volt alimantant les deux moteurs situés à chaque roues arrière et de roues de dragster 

Ainsi équipée, la petite Mx-5 à reussi à couvrir les 400 mètres en  9,27 secondes, avec une arrivée à  228 km/h, collant au passage une raclée à la Tesla qui n’a effectué l’exercice ‘qu’en’ 12,72 secondes.
La comparaison n’est pas forcément appropriée mais peut donner un ordre d’idée, 9,6 secondes sont necessaires à la Bugatti Veyron SS pour survoler les 400 mètres.

Reste à savoir si la Miata aura assez de jus pour repartir sur la route comme sa rivale du jour.

teslamiata

5 Réponses

  1. Rom

    Et puis c’est évident que des modèles bricolés sont plus performants que des modèles stocks, même sportifs.
    Pour réaliser ces préparations, il n’y a aucune problématique de compromis. Ce sont ses compromis qui compliquent le développement et limtent parfois les puissance/performance/effciacité.
    Au même titre que des vieilles 205/R5/Kadett/Golf/A3… qui développent entre 500 et 1000 chevaux !! Elles sont plus performantes que certaines sportives mais souvent complétement vidées, pas toujours fiables et même si ce sont des voitures bon marché, certaines préparations peuvent revenir à (très) cher !!

  2. Japman

    Encore un comparatif qui apporte ….?
    Car comparer une voiture préparée drag qui ne peut plus rouler sur route avec une voiture de série avec toutes les contraintes que ça implique, n’apporte rien a personne.
    Dans le même genre pourquoi ne pas faire l’inverse ?
    La Tesla S ridiculise un Miata drag sur un trajet Paris – Perpignat , en transportant une famille et leur bagages pour 15 jours de vacances.
    Ça paraît bête dit comme ca ?

Laisser un commentaire