La famille de la limousine Classe S s’étoffe officiellement avec l’arrivée de la version Coupé. Un coupé statutaire et dynamique se posant comme héritier de la CL.
C’est un coup de maître que réussit ici le constructeur à l’étoile tant les images de cette Mercedes Classe S Coupé font pétiller les yeux. On attendra de l’apprécier en direct lors du salon de Genève afin de confirmer ses impressions d’images de papier glacé et photos de l’épais dossier de presse.
Reprenant le flambeau de la CL, ce coupé de huitième génération affiche sa filiation avec la limousine Classe S et, silhouette oblige, montre un vrai dynamisme malgré sa longueur et son poids et ce même si ses mensurations officielles (5 027 mm de long, 1 899 mm de large et 1 411 mm de haut, pour un empattement de 2 945 mm) illustrent une longueur réduite de 10 cm et une hauteur abaissée de 70 mm par rapport à sa cousine berline.
Son intérieur est calqué sur celui de la Classe S dont elle partage aussi les équipements de sécurité et d’aide à la conduite, une liste pléthorique, un inventaire à la Prévert. A son lancement ce majestueux coupé sera proposé avec le V8 biturbo de 455 ch et 700 Nm de couple (S 500 Coupé) en attendant les V12 et AMG.
« Après Magic Body Control, le premier train de roulement doté du sens de la vue, qui a fêté sa première mondiale à bord de la Classe S, le coupé surprend à son tour avec une innovation internationale sur un véhicule de série : la fonction d’inclinaison dans les virages, qui lui permet de se pencher dans les courbes à la manière d’une moto ou d’un skieur sur une piste de slalom. L’accélération transversale s’exerçant sur les occupants est réduite un peu comme dans un virage relevé, les passagers étant davantage « collés » à leur siège. La nouvelle fonction d’inclinaison dans les virages contribue ainsi au confort et à l’agrément de conduite, en particulier sur le réseau secondaire« , souligne Mercedes en complément. A tester en conditions réelles ! Ultime indiscrétion et offre proposée au rayon des options : 47 cristaux Swarovski ornent les blocs optiques à l’avant… Le luxe ultime ? A revoir en détails lors du salon de Genève.
Source et images : Mercedes.
Trop grosse, trop puissante, trop arrogante, trop ostentatoire (les cristaux Swarosvki dans les phares… n’importe quoi…) à mon goût, mais quand on aime le blingbling, on peut légitimement se pâmer devant la qualité de réalisation.
Mais il faut vivre avec son temps!
Elle incarne l’ultra confort, le luxe, la perfection, la technologie, la sécurité, la force tranquille… Avec l’avantage d’un logo plus passe partout et moins obstentatoire qu’une Rolls ou une Bentley pour l’opinion public. La Phantom Drophead pour celui qui n’a ni les moyens d’en posésder une, ni l’envie de se faire autant remarquer avec une qualité perçue équivalente et des qualités routières sans doute supérieure. Bref, le vaisseau amiral 2.0 parfait !!
Une braie claque visuelle ! Mercedes se réveille et mets une claque à la concurrence ! Pourtant « pro » BM, je dois reconnaitre qu’il n’y a rien à ce niveau et pas plus chez le 3eme prémium allemand…