Et une de plus. Voilà une nouvelle série ‘spéciale’ de la Veyron. Si la totalité des 300 coupés Veyron a été écoulée, les 150 châssis du modèle découvrable Grand Sport ont bien du mal à trouver preneurs. Plus de la moitié d’entre eux restent encore disponibles. Pour Genève, Bugatti présentait alors une nouvelle évolution de la Grand Sport dénommée Vitesse.

Celle-ci reprend bien sûr le W16 de la Veyron, ici dans la configuration Super Sport dotée de non moins de 1 200 ch (à 6 400 tr/min) et 1 500 Nm (de 3 000 à 5 000 tr/min). Et tandis que le coupé Super Sport avait été officialisé à 431 km/h (limitée à 415 km/h), l’élevant au rang de voiture de série la plus rapide au monde, sa version roadster s’en tient à 410 km/h. Elle en devient tout de même à son tour le roadster le plus rapide de la planète, ce qu’était déjà la ‘simple’ Veyron Grand Sport (407 km/h).

Mais tandis que la Grand Sport se trouve ‘limitée’ à un maximum de 360 km/h, le modèle Grand Sport Vitesse élève cette restriction à 375 km/h. Le 0 à 100 km/h est ici atteint en 2,6 secondes, cheveux au vent. Puis de multiples réglages châssis ou aérodynamiques apparus sur la Super Sport ont été transposés à cette version Vitesse. De nouvelles teintes font également leur apparition avec ce modèle, dont un ‘Light Blue Sport’, cette teinte posée au bas de la carrosserie. Des moins discrètes.

L’unique modèle Veyron qui s’est écoulé correctement s’avère être la Super Sport. Sans doute Bugatti espère-t-elle ainsi transposer ce ‘succès’ au modèle Grand Sport via la Vitesse et ses 1200 ch. C’est tout ce que l’on peut souhaiter à Molsheim.

Laisser un commentaire