Troisième et dernière partie de notre visite du Salon de Francfort.

Mercredi 14 septembre, 8h45. Le réveil plus difficile au matin de cette seconde journée explique l’arrivée ‘tardive’ sur le salon. On se dirige immédiatement à l’autre bout du salon afin d’attaquer par le hall 3.1. Un petit kilomètre de marche à pied permet de se mettre en jambe mais le hall a l’avantage d’être reposant. Renault, Mazda, Kia, Infiniti et Suzuki, les raisons de se réjouir ne sont pas très nombreuses et la fréquentation s’en ressent. A l’étage du dessous, Volkswagen démontre que le groupe est ici chez lui. Lamborghini, Bentley, Porsche, Seat, Skoda et Volkswagen occupent un espace gigantesque parsemé de nouveautés et concepts en tous genres. La foule se presse et l’atmosphère est fatigante. On prend une pose le temps d’un gaspacho et de quelques morceaux de ‘Jamon’ chez Seat puis on part à la découverte des deux derniers morceaux de choix, Audi et Mercedes.

Le premier occupe un espace au centre du Messe incluant une véritable piste d’essais sur laquelle roulent, entre autre, TT-RS, R8 V10 et R8 GT Spider ! Une bonne idée qui permet d’entendre les mécanique s’exprimer brièvement. Le nombre de personnes présentes et les voitures quelque peu entassées les unes sur les autres font de l’intérieur du stand un espace moins agréable que prévu.

Contraste chez Mercedes, installé comme à son habitude dans une véritable cathédrale de 3 étages. La structure est tout bonnement gigantesque et n’a absolument aucun équivalent dans les autres salons mondiaux. Du confiné chez Audi on passe au gigantisme de la marque à l’étoile. Étonnant.

Direction enfin la salle de presse pour publier quelques articles avant de reprendre la route et rejoindre Paris épuisés à 1h15 du matin. Rendez-vous dans deux ans, IAA, tu ne vas pas nous manquer…

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