Voici une nouvelle édition spéciale de la plus spéciale des supercars. Avec la Veyron Sang Bleu, Bugatti devrait clore sa série de déclinaisons inédites qui se succèdent depuis de nombreux mois. Cette ultime série spéciale dérive de la récente et toujours aussi étourdissante Veyron dans sa version découvrable, la Grand Sport – à l’essai dans l’actuel numéro 42 d’evo, à ne pas manquer.
Sa carrosserie se distingue par l’association d’aluminium et de fibre de carbone teintée de bleu (royal blue). Cette édition Sang Bleu fait également office d’objet de célébration du centième anniversaire de la petite firme automobile basée en Alsace (petite par le nombre d’employés), comme le faisait d’ailleurs il y a peu de temps la Veyron Bleu Centenaire.
Côté mécanique, aucune modification n’est à signaler, les caractéristiques de la Grand Sport étant conservées en intégralité. 1990 kg, c’est environ 100 kg de plus que le coupé, un W16 de 1001 ch et 1250 Nm, un 0 à 200 km/h en 7,3 sec et 407 km/h. De quoi rester coi.
Jusqu’à maintenant, il s’est vendu 250 Veyron dans le monde, 215 ayant déjà été livrées. La production totale prévue étant de 300 unités. Avec la Sang Bleu, Bugatti signe là son ultime série très limitée avant de terminer pas à pas l’aventure Veyron et laisser place à de nouveaux projets, sans doute tout aussi exceptionnels.

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